C’est un nouveau lundi miteux qui se dessine, et pour ne pas céder à la morosité du début de semaine, l’indé matin met en lumière un jeu indépendant, tout juste ou bientôt sorti, qui nous a tapé dans l’œil. De quoi repartir du bon pied, avec curiosité en bandoulière et foi en l’humanité. Seule pas sur Mars, ce matin, avec Lost Nova.
Oh non, le vaisseau de Mia s’est crashé ! Elle va être obligée d’explorer une planète toute jolie et faire la rencontre de ses habitants trop mignons. C’est vraiment pas de bol. Heureusement qu’elle a sur elle son pisto-laser qui va lui permettre de piller les ressources naturelles alentour afin de peut-être réparer son vaisseau et quitter cet enfer sucré.
Il y a trois ans de cela, vous aviez peut-être succombé à Forager, où récolte de ressources et idle game faisaient bon ménage. Si l’on a bien suivi, Jon Nielsen y avait alors filé un coup de main et HopFrog lui a rendu la pareille en l’accompagnant à l’édition de Lost Nova, qu’il développe en solo pour l’occasion. La recette semble à peu près similaire, troquant toutefois le côté gestion pour une narration à base de personnages mignons.
Si l’on met de côté sa tendance à l’exploitation des ressources (comme tout vrai bon jeu vidéo qui se respecte), Lost Nova semble développer un univers à explorer à la cool, notamment par l’absence d’ennemis. Récoltes, amélioration, plus de récoltes : une recette gagnante. Et puis on est tout de même mauvaise langue, car la présence de Mia sur cette planète pastel pourrait également être l’occasion de rendre service aux locaux – et de rencontrer un chat fantôme, ce qui n’est pas si commun. L’animation parait un peu rudimentaire, mais il serait de bon ton de ne pas trop se plaindre : Lost Nova parait prêt à vous plonger dans une boucle de satisfaction bien agréable – en attendant Mechanibot, un second jeu du développeur attendu plus tard cette année. Et puis il y a un pisto-laser avec lequel on surfe.
Lost Nova est disponible sur PC depuis le 11 mai.
Bonus. Pas de bonus pour cette fois-ci et le mois à venir, il faudra donc se contenter des miettes de l’actu.
Seastrom
C'est la Loire qui coule dans les veines de Seastrom, mélangée aux subtilités de la vaporwave. Possibilité de l'amadouer en lui parlant indés et D&D (Dreyer et Digimon).
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