Cette fois-ci dans Partie Rapide, Fanny vous parle de Moonlighter et Noodles de Just Shapes and Beats.
Moonlighter
J’aurais aimé dire que j’ai passé un excellent moment sur Moonlighter. J’avais cherché pendant des années un jeu ressemblant à Recettear dont j’aimais beaucoup le principe mais pas les graphismes. Alors quand Moonlighter m’a été proposé, j’ai sauté sur l’occasion : enfin le jeu qui allait me convaincre, surtout qu’il était publié par un éditeur de qualité, 11 bit studios. Sauf que le titre m’a malheureusement fait prendre conscience d’une chose : je ne supporte plus tous ces jeux indépendants Zelda-like, avec des donjons à faire en boucle, des boss qui ne sont que des sacs à PV avec peu de stratégie. Il est dommage que cette réalisation arrive sur un jeu plein de qualités comme celui dont nous allons parler.
Le principe du titre est simple : vous êtes un marchand obsédé par cinq donjons mystérieux situés à l’extérieur de votre village. Après avoir failli mourir dans l’un d’entre eux, vous décidez de ne pas lâcher l’affaire et de continuer de mener une double vie, où vous êtes un marchand de jour et un aventurier la nuit, ce qui permet d’enrichir considérablement votre commerce vu que vous êtes le seul à oser vous aventurer dans ces donjons et à en ramener des composants. A partir de là, il vous suffit de réussir à explorer les donjons et à tuer le boss final pour en avoir d’autres de disponibles, tout en gérant un commerce afin d’avoir un peu d’argent pour avoir de meilleures armes, armures et enchantements pour vos explorations nocturnes.
Peu profond mais agréable
Ayant découvert une certaine aversion pour le gameplay, ma partie préférée du jeu était donc censée être la gestion du magasin. Malheureusement, cet aspect ne brille pas par son intérêt. Il s’agit en gros d’essayer de trouver un prix de départ sur les objets que vous n’avez jamais vendu auparavant et de l’ajuster selon les réactions des clients pour enfin avoir le prix idéal qui garantit des ventes. Au bout d’un moment, les ventes se font donc toutes seules et même si quelques péripéties viendront remuer un peu les choses, comme des voleurs, il s’agira surtout de renflouer vos étals et d’encaisser les gens. Rien de très passionnant donc, même si ces moments sont une pause bienvenue dans l’exploration de donjons et sont un peu plus gratifiants que d’uniquement vendre vos trouvailles au premier marchand qui passe. Comme dit précédemment, cet argent sert à améliorer votre équipement mais aussi à acheter des améliorations pour la ville, comme de nouveaux marchands, et pour votre magasin. Rien de très poussé cependant.
Quant au gameplay, il n’est pas mauvais, loin de là. Mais combiné avec le manque de précision de la manette, ça devient rapidement lassant et frustrant. Mais encore une fois, je pense que le problème vient de moi. Je suis amenée à tester plus de jeux que le joueur moyen et vu que mes sujets de prédilection sont les jeux indés en général, je me suis retrouvée à faire beaucoup de Zelda-like/roguelike cette année et je crois que je suis en overdose. Je ne leur en veux pas, je comprends pourquoi la plupart d’entre eux suivent cette route, comme pourquoi la plupart d’entre eux font du pixel art. Mais là où une véritable originalité est possible avec le pixel art, ce n’est pas le cas du gameplay. Et malheureusement Moonlighter n’a pas le charme ou l’originalité nécessaires pour me faire passer outre ça.
Moonlighter est objectivement un bon jeu. Le mélange gestion (même très light) et exploration de donjons amène une variété bienvenue pour éviter la lassitude. Même si le jeu n’était pas pour moi, il plaira à ceux qui ne sont pas encore lassés des Zelda like, grâce à ces graphismes attrayants et son gameplay simple mais efficace pour les amateurs. A essayer donc, malgré quelques petits bugs qui traînent.
Just Shapes and Beats
Dans la vie, il y a deux types de jeux musicaux, ceux qui vous demandent simplement de battre la mesure pour effectuer un sans faute, confortablement installé dans votre siège/canapé/autre, et ceux qui veulent aller plus loin, proposant une expérience au delà du simple décalque de notes apparaissant à l’écran. On peut citer pour ce dernier exemple Rez, Child of Eden ou encore, peut-être dans une moindre mesure, Beat Hazard. Just Shapes and Beats fait également partie de cette catégorie et mérite amplement de rester dans les mémoires et de se poser sur l’étagère des succès à côté de Rez et Child of Eden.
Développé par les québécois de Berzerk Studio depuis plus de 4 ans, Just Shapes and Beats est donc ce qu’on pourrait appeler un bullet hell ou shmup musical extrêmement travaillé. Y a t-il une histoire ? Oui, pour le mode solo. Ça reste simple : une puissance maléfique attaque votre petit monde peuplé de formes diverses et toutes mignonnes et y instaure un règne de terreur musicale qu’il vous faudra, pauvre petit carré bleu bien riquiqui au milieu de ce monde, surmonter et battre.
Quand la musique est bonne
Just Shapes and Beats porte très bien son nom puisque le jeu ne consiste qu’en des formes et de la musique électro chiptune énervée tout du long. Premier point important du titre de Berzerk, sa playlist est peut-être l’une des meilleures que j’ai pu entendre dans un jeu. Danimal Cannon, Chipzel, Noisestorm, Nitro Fun… Que des noms reconnus de la scène chiptune que l’on retrouvera dans cette aventure qui se boucle, en solo, en 2 à 4 heures en fonction de si on est bon et patient ou pas. Mais nous y reviendrons. Dans Just Shapes and Beats, l’ennemi, ce n’est pas un personnage en particulier, c’est bel et bien la musique. Celle-ci agit directement sur votre environnement et la moindre note des morceaux proposés constitue une arme qui veut vous détruire.
La grosse caisse fait apparaître en rythme une large bande qui traverse l’écran, le synthé balance multitude de petites boules dans tous les sens, la caisse claire rempli un cercle dans lequel vous vous étiez enfermé, vous pensant être à l’abri du tumulte.
A vous, en vous déplaçant simplement et en dashant dans tous les sens, d’éviter toutes ces formes roses qui vous foncent dessus des quatre coins de l’écran. Ce n’est pas au joueur d’aller en rythme, mais c’est à lui de se l’approprier et de présenter sa propre partition pour s’en sortir le temps du morceau. A chaque fois que vous vous faites toucher vous perdez un peu de vie, lorsque vous mourrez, le jeu revient en arrière au checkpoint précédent (ou au début de la chanson pour les combats de boss), si vous mourrez trois fois, mmmh est-ce game over ? Je vous laisserai le découvrir.
Des beats et quelques larmes
Et ne vous inquiétez pas, vous allez le découvrir bien assez tôt. Car Just Shapes and Beats n’est pas à mettre entre les mains des impatients. Sa difficulté en frustrera plus d’un assurément, même si le désir de s’accrocher pour pouvoir passer le morceau et découvrir le suivant restera très très fort. Quel bonheur cette tracklist nom de nom ! Je vous invite d’ailleurs à aller profiter de la playlist que les développeurs ont constitué sur Spotify, qui regroupe tous les morceaux du titre.
Oui, il faudrait s’attarder sur cette difficulté qui semble parfois très injuste, avec ses formes envahissant parfois quasiment tout l’écran et venant de tous les coins, faisant en sorte qu’on ne sait plus où donner de la tête pour esquiver tout ça. Mais il m’est impossible de réellement prendre en compte ce défaut tant je n’ai cessé de m’éclater même en recommençant 10 fois le même morceau. Et en plus, les développeurs mettent à disposition un mode de difficulté Casual qui nous donne plus de vie et que l’on peut activer à tout moment.
Un titre en grande forme
Tout, dans Just Shapes and Beats, déborde de cool. Les designs des personnages, les formes, les mouvements liés à la musique, donnant un effet très organique au tout et l’atmosphère qui se dégage du jeu de Berzek Studio, tous ces ingrédients mélangés ne peuvent que plaire au public. Même les personnes hermétiques à l’électro boumboum trouveront leur bonheur puisque la musique n’est pas un accessoire comme nous l’avons vu plus haut. Le jeu entier est construit autour des morceaux qu’il propose et pour eux.
Oui car la musique est vraiment omniprésente. Elle n’est pas là juste lors des tableaux de smhup mais aussi lors des transitions entre les niveaux, qui prennent la forme de petites parties de platformer sans grands enjeux (excepté lors de quelques moments très jouissifs) et qui vous permettent de souffler un peu entre deux niveaux certes courts, mais éprouvants.
Une fois le mode solo fini, vous pouvez vous adonner par exemple au mode Party sans fin, qui vous fait juste tourner les différents niveaux de manière aléatoire et non stop, ou au mode multijoueur jusqu’à quatre, qui offre un sacré bordel. Autant dire qu’il y a vraiment de quoi passer du temps sur ce jeu. Les joueurs les plus téméraires, eux, iront plutôt chercher des runs 0 hits. Là, je leur souhaite vraiment bon courage mais il me semble, à l’heure où j’écris ces lignes, que quelques uns ont déjà réussi.
Je n’ai pas autant pris mon pied devant un jeu vidéo depuis un bon bout de temps. Just Shapes and Beats, malgré son apparence un peu austère au premier abord, propose au final une expérience riche, variée et incroyablement bien réfléchie. Ses trois développeurs y ont passé des années et on sent tout du long leur amour du jeu et de la musique qu’ils ont voulu partager avec nous. C’est un quasi sans faute de leur part et je ne peux que vous conseiller très vivement de vous plonger dedans pendant l’été, même si, je sais, vous n’avez pas besoin d’une autre cause à votre transpiration en ce moment.
Cette fois-ci dans Partie Rapide, Fanny vous parle de Moonlighter et Noodles de Just Shapes and Beats.
Moonlighter
J’aurais aimé dire que j’ai passé un excellent moment sur Moonlighter. J’avais cherché pendant des années un jeu ressemblant à Recettear dont j’aimais beaucoup le principe mais pas les graphismes. Alors quand Moonlighter m’a été proposé, j’ai sauté sur l’occasion : enfin le jeu qui allait me convaincre, surtout qu’il était publié par un éditeur de qualité, 11 bit studios. Sauf que le titre m’a malheureusement fait prendre conscience d’une chose : je ne supporte plus tous ces jeux indépendants Zelda-like, avec des donjons à faire en boucle, des boss qui ne sont que des sacs à PV avec peu de stratégie. Il est dommage que cette réalisation arrive sur un jeu plein de qualités comme celui dont nous allons parler.
Le principe du titre est simple : vous êtes un marchand obsédé par cinq donjons mystérieux situés à l’extérieur de votre village. Après avoir failli mourir dans l’un d’entre eux, vous décidez de ne pas lâcher l’affaire et de continuer de mener une double vie, où vous êtes un marchand de jour et un aventurier la nuit, ce qui permet d’enrichir considérablement votre commerce vu que vous êtes le seul à oser vous aventurer dans ces donjons et à en ramener des composants. A partir de là, il vous suffit de réussir à explorer les donjons et à tuer le boss final pour en avoir d’autres de disponibles, tout en gérant un commerce afin d’avoir un peu d’argent pour avoir de meilleures armes, armures et enchantements pour vos explorations nocturnes.
Peu profond mais agréable
Ayant découvert une certaine aversion pour le gameplay, ma partie préférée du jeu était donc censée être la gestion du magasin. Malheureusement, cet aspect ne brille pas par son intérêt. Il s’agit en gros d’essayer de trouver un prix de départ sur les objets que vous n’avez jamais vendu auparavant et de l’ajuster selon les réactions des clients pour enfin avoir le prix idéal qui garantit des ventes. Au bout d’un moment, les ventes se font donc toutes seules et même si quelques péripéties viendront remuer un peu les choses, comme des voleurs, il s’agira surtout de renflouer vos étals et d’encaisser les gens. Rien de très passionnant donc, même si ces moments sont une pause bienvenue dans l’exploration de donjons et sont un peu plus gratifiants que d’uniquement vendre vos trouvailles au premier marchand qui passe. Comme dit précédemment, cet argent sert à améliorer votre équipement mais aussi à acheter des améliorations pour la ville, comme de nouveaux marchands, et pour votre magasin. Rien de très poussé cependant.
Quant au gameplay, il n’est pas mauvais, loin de là. Mais combiné avec le manque de précision de la manette, ça devient rapidement lassant et frustrant. Mais encore une fois, je pense que le problème vient de moi. Je suis amenée à tester plus de jeux que le joueur moyen et vu que mes sujets de prédilection sont les jeux indés en général, je me suis retrouvée à faire beaucoup de Zelda-like/roguelike cette année et je crois que je suis en overdose. Je ne leur en veux pas, je comprends pourquoi la plupart d’entre eux suivent cette route, comme pourquoi la plupart d’entre eux font du pixel art. Mais là où une véritable originalité est possible avec le pixel art, ce n’est pas le cas du gameplay. Et malheureusement Moonlighter n’a pas le charme ou l’originalité nécessaires pour me faire passer outre ça.
Moonlighter est objectivement un bon jeu. Le mélange gestion (même très light) et exploration de donjons amène une variété bienvenue pour éviter la lassitude. Même si le jeu n’était pas pour moi, il plaira à ceux qui ne sont pas encore lassés des Zelda like, grâce à ces graphismes attrayants et son gameplay simple mais efficace pour les amateurs. A essayer donc, malgré quelques petits bugs qui traînent.
Just Shapes and Beats
Dans la vie, il y a deux types de jeux musicaux, ceux qui vous demandent simplement de battre la mesure pour effectuer un sans faute, confortablement installé dans votre siège/canapé/autre, et ceux qui veulent aller plus loin, proposant une expérience au delà du simple décalque de notes apparaissant à l’écran. On peut citer pour ce dernier exemple Rez, Child of Eden ou encore, peut-être dans une moindre mesure, Beat Hazard. Just Shapes and Beats fait également partie de cette catégorie et mérite amplement de rester dans les mémoires et de se poser sur l’étagère des succès à côté de Rez et Child of Eden.
Développé par les québécois de Berzerk Studio depuis plus de 4 ans, Just Shapes and Beats est donc ce qu’on pourrait appeler un bullet hell ou shmup musical extrêmement travaillé. Y a t-il une histoire ? Oui, pour le mode solo. Ça reste simple : une puissance maléfique attaque votre petit monde peuplé de formes diverses et toutes mignonnes et y instaure un règne de terreur musicale qu’il vous faudra, pauvre petit carré bleu bien riquiqui au milieu de ce monde, surmonter et battre.
Quand la musique est bonne
Just Shapes and Beats porte très bien son nom puisque le jeu ne consiste qu’en des formes et de la musique électro chiptune énervée tout du long. Premier point important du titre de Berzerk, sa playlist est peut-être l’une des meilleures que j’ai pu entendre dans un jeu. Danimal Cannon, Chipzel, Noisestorm, Nitro Fun… Que des noms reconnus de la scène chiptune que l’on retrouvera dans cette aventure qui se boucle, en solo, en 2 à 4 heures en fonction de si on est bon et patient ou pas. Mais nous y reviendrons. Dans Just Shapes and Beats, l’ennemi, ce n’est pas un personnage en particulier, c’est bel et bien la musique. Celle-ci agit directement sur votre environnement et la moindre note des morceaux proposés constitue une arme qui veut vous détruire.
La grosse caisse fait apparaître en rythme une large bande qui traverse l’écran, le synthé balance multitude de petites boules dans tous les sens, la caisse claire rempli un cercle dans lequel vous vous étiez enfermé, vous pensant être à l’abri du tumulte.
A vous, en vous déplaçant simplement et en dashant dans tous les sens, d’éviter toutes ces formes roses qui vous foncent dessus des quatre coins de l’écran. Ce n’est pas au joueur d’aller en rythme, mais c’est à lui de se l’approprier et de présenter sa propre partition pour s’en sortir le temps du morceau. A chaque fois que vous vous faites toucher vous perdez un peu de vie, lorsque vous mourrez, le jeu revient en arrière au checkpoint précédent (ou au début de la chanson pour les combats de boss), si vous mourrez trois fois, mmmh est-ce game over ? Je vous laisserai le découvrir.
Des beats et quelques larmes
Et ne vous inquiétez pas, vous allez le découvrir bien assez tôt. Car Just Shapes and Beats n’est pas à mettre entre les mains des impatients. Sa difficulté en frustrera plus d’un assurément, même si le désir de s’accrocher pour pouvoir passer le morceau et découvrir le suivant restera très très fort. Quel bonheur cette tracklist nom de nom ! Je vous invite d’ailleurs à aller profiter de la playlist que les développeurs ont constitué sur Spotify, qui regroupe tous les morceaux du titre.
Oui, il faudrait s’attarder sur cette difficulté qui semble parfois très injuste, avec ses formes envahissant parfois quasiment tout l’écran et venant de tous les coins, faisant en sorte qu’on ne sait plus où donner de la tête pour esquiver tout ça. Mais il m’est impossible de réellement prendre en compte ce défaut tant je n’ai cessé de m’éclater même en recommençant 10 fois le même morceau. Et en plus, les développeurs mettent à disposition un mode de difficulté Casual qui nous donne plus de vie et que l’on peut activer à tout moment.
Un titre en grande forme
Tout, dans Just Shapes and Beats, déborde de cool. Les designs des personnages, les formes, les mouvements liés à la musique, donnant un effet très organique au tout et l’atmosphère qui se dégage du jeu de Berzek Studio, tous ces ingrédients mélangés ne peuvent que plaire au public. Même les personnes hermétiques à l’électro boumboum trouveront leur bonheur puisque la musique n’est pas un accessoire comme nous l’avons vu plus haut. Le jeu entier est construit autour des morceaux qu’il propose et pour eux.
Oui car la musique est vraiment omniprésente. Elle n’est pas là juste lors des tableaux de smhup mais aussi lors des transitions entre les niveaux, qui prennent la forme de petites parties de platformer sans grands enjeux (excepté lors de quelques moments très jouissifs) et qui vous permettent de souffler un peu entre deux niveaux certes courts, mais éprouvants.
Une fois le mode solo fini, vous pouvez vous adonner par exemple au mode Party sans fin, qui vous fait juste tourner les différents niveaux de manière aléatoire et non stop, ou au mode multijoueur jusqu’à quatre, qui offre un sacré bordel. Autant dire qu’il y a vraiment de quoi passer du temps sur ce jeu. Les joueurs les plus téméraires, eux, iront plutôt chercher des runs 0 hits. Là, je leur souhaite vraiment bon courage mais il me semble, à l’heure où j’écris ces lignes, que quelques uns ont déjà réussi.
Je n’ai pas autant pris mon pied devant un jeu vidéo depuis un bon bout de temps. Just Shapes and Beats, malgré son apparence un peu austère au premier abord, propose au final une expérience riche, variée et incroyablement bien réfléchie. Ses trois développeurs y ont passé des années et on sent tout du long leur amour du jeu et de la musique qu’ils ont voulu partager avec nous. C’est un quasi sans faute de leur part et je ne peux que vous conseiller très vivement de vous plonger dedans pendant l’été, même si, je sais, vous n’avez pas besoin d’une autre cause à votre transpiration en ce moment.
Fanny Dufour
Rédactrice le jour et rédactrice en chef la nuit. J'aime qu'on me raconte des histoires, mais seulement dans les jeux.
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