Derrière les Pixels - Ludosophia sur l'industrie culturelle du jeu vidéo

Retrouvez ici une chronique de vidéos dans laquelle Veltar mêle des œuvres vidéoludiques avec des thématiques diverses. Vous pouvez y découvrir Focus, contenu dans lequel il analyse un jeu ou une série de jeux, afin d’en extraire l’idée la plus forte : Sim City et l’économie, Firewatch et l’expérience ou encore This War of Mine et humanisme n’en sont que quelques exemples. Vous pouvez aussi retrouver Ludosophia, où il choisit un concept ou un thème et la manière dont cela est mis en avant dans 3 jeux vidéo (ou parfois plus). Que ce soit par le gameplay, les graphismes ou la narration, les jeux retenus le sont pour des raisons différentes mais toujours autour d’un sujet commun.

La dernière vidéo de Veltar revenait sur le sentiment de colère dans les jeux vidéo. Il propose aujourd’hui quelque chose d’un peu différent. Le sujet est cette fois celui de l’industrie culturelle du jeu vidéo. Un sujet vaste, au départ focalisé sur le cheminement qui a mené le jeu vidéo à (presque) rejoindre le cercle fermé des œuvres légitimes.
Une difficulté qui, une fois abordée, laissera place à une problématique nouvelle : la place de l’industrie du jeu vidéo. Parce que le jeu vidéo a peu à peu réussi à se baser sur une structure commerciale solide, organisée, et surtout extrêmement rentable. Même son krach en 1983 n’a pu venir à bout de cela.

Une importance telle qu’il était donc nécessaire de questionner la place qu’elle occupe. S’il faut être conscient du poids de l’industrie du jeu vidéo, il ne faut en effet pas oublier que l’on parle d’art. Et c’est ce qui pose problème, d’une certaine façon : le jeu vidéo paraît être devenu plus un produit qu’un objet technologique et artistique. L’industrie du jeu vidéo serait totalement responsable de ça. Mais finalement, en tant que joueurs et joueuses, n’avons-nous pas une grande part de responsabilité ?

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